"Quand tu parles de ton ennemi, songe qu'un jour peut-être tu deviendras son ami."
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Sujet: "Quand tu parles de ton ennemi, songe qu'un jour peut-être tu deviendras son ami." Mar 20 Oct - 13:07
Quand tu parles de ton ennemi, songe qu'un jour peut-être tu deviendras son ami.
♕ Mélodie Macabre, Etoile Sombre et Etoile Parfumée ♕
Il pleuvait. Il pleuvait et je m'ennuyais. J'étais assise dans ma tanière, à regarder les autres chats, il était encore tôt, le soleil ne s'étais pas encore levé. J'avais bien tenté de me rendormir, mais je n'y arrivais pas. Pourquoi ne pas aller me balader ? Sous la pluie ?! Me diriez-vous, je ne crains pas la pluie, j'ai bien, sa rafraichit sachant qu'a la saison de la chaleur, on meurt tous de soif, mieux vaut profiter de cette saison, ou les gouttes tombent sur notre pelage.
Je traversa le camp de bond rapide, puis essoufflé je m'arrêta, le soleil s'était levé mais il était encore tôt. Je remarque que j'étais proche du champ, j'allai le rejoindre quand une souris passa a toute allure devant moi, mais elle n'eu pas le temps de finir son chemin que je lui avais sauté dessus.
Je l'avais pris dans la gueule et me diriger dans le champs. J'y étais. Je m'assis dans l'herbe et avala la souris que j'avais attrapé plus tôt, elle était tout simplement délicieuse. J'entendis maintenant des bruits de pas, de pas ennemi, je pivote très rapidement est aperçu....
Sujet: Re: "Quand tu parles de ton ennemi, songe qu'un jour peut-être tu deviendras son ami." Lun 9 Nov - 21:43
« Tu aime jouer ? Moi oui, je te réduirais en cendre si tu conteste mes ordre»
Il faut profiter du temps avant que nous soyons poussières
Le visage relevée et ses papillons qui essaie de sortir de mon ventre. Les perles fines qui explose sur mon pelage. J'aime ça. J'aime être crasseuse, on me fait plus de compliment sur mon pelage comme ça. La pluie dans un délice dévale ma tête jusqu'à ma gorge pour finir sur mes pattes. Le soleil à peine levée, les autres endormis. Que je fait debout ? Rien, le destin peut-être. De toute façon je ne savais que faire. La brise fraîche envahissent mes poumons à grande foulée. C'était la belle vie.
Je ne voulais toujours pas dormir et le soleil se levait. Ah penard de soleil à trouver le sommeil comme ça. Et puis pourquoi pas faire une balade. Oui une balade. Pour se dégourdir les pattes. C'était de loin la meilleure idées de fatigués jamais exister. Alors trottina vers des Terres que j'avais vu il n'a pas longtemps . Je venais d'arrêter de marcher car j'étais arriver au Champs. La bas on sentait les effluves à peine percevable de la Lieutenante du Vent. Alors que celle du Meneur Étoile Sombre était beaucoup plus présente, comme si il était la à cet instant. Le fait a penser a lui m'avais laisser un frissons sur la fourrure.
bas on sentait les effluves à peine percevable de la Lieutenante du Vent. Alors que celle du Meneur Étoile Sombre était beaucoup plus présente, comme si il était la à cet instant. Le fait a penser a lui m'avais laisser un frissons sur la fourrure.
Il pleuvait toujours, je n'avais plus l'air de la courageuse et fière meneuse mais plutôt d'une maigrelette au muscles sautant et à la fourrure poisseuse qui plaquait sur mon corps. Je n'étais plus pour quelque temps la meneuse agressive. J'avais juste l'air d'un chien mouillé. Mais tout d'un coup je fonce dans quelqu'un.
« Tu pourrais faire attention ! »
je miaule
Mais alors je me rend compte que c'était Étoile Sombre. Je me scripte et puis me vint aussi une autre odeur.
Messages : 704 Forces : 4090 Date d'inscription : 06/08/2015
Chef
Etoile Sombre
Sujet: Re: "Quand tu parles de ton ennemi, songe qu'un jour peut-être tu deviendras son ami." Sam 28 Nov - 10:38
J'étais assis, sentant chaque gouttes d'eau glisser sur mon pelage. Mon esprit vagabondait dans une forêt sombre et inquiétante. Je regardais le ciel et ses nuages gris passer avec lenteur au dessus de moi. Mon pelage était trempé mais celui-ci, fort épais me protégeait en partie. J'écoutais le cœur du souris maigre passer devant moi. Mais ce n'était qu'un tour de mon imagination car elle n'existait pas. Quel dommage... Je sentais déjà son sang chaud sur a langue râpeuse. Son petit corps perdre la vie dans ma gueule. Mais avec tous ces saisons sans feuille passé, je commençais à m'y habituer et encore, nous n’étions pas dans son cœur puisque la forêt était recouverte d'un épais manteau de feuille faisant du bruit à chacun de nos pas. Je contemplais l'étendu devant moi. Que la terre est vaste...
Alors, un corps se cogna contre moi. Je reconnu tout de suite l'odeur du ciel dans les parages. Il grogna me confirmant bien qu'agissait d'Étoile Parfumée dont je commence à m'habituer de l'odeur: « Tu pourrais faire attention ! » Je ricane pour me retourner. Les flaques boueuse ne manquaient pas ici.
« N'échangeons pas les rôles ma chère » Et cela dit, j'éclaboussa son pelage de boue même si celui si était déjà crasseux.
Je me retourna. Qu'elle est peur de moi vu son odeur ne changera rien à son traitement.