Le camps, toujours aussi ennuyant. On a envie de voir quelque chose d'énorme et parfois même on en vient à espérer une guerre pour se sortir de notre vie monotone. Sombre Plume lâcha un soupire exaspéré et, avant qu'on lui assigne une tache quelconque, il quitta le camps, si on voulait qu'il chasse, il le ferait. Seul. Le plus loin possible de ses camarades dont il n'appréciait pas plus que ça leur compagnie. Les oreilles aux aguets, il cherchait pendant une heure, des proies, il n'en attrapa que deux, un merle et une souris. C'est alors qu'un écureuil, non mais sans rire, probablement le plus énorme qu'il n'ai jamais vu, descendit de sa branche. Il était si gros, si merveilleux, on aurait dit un chat domestique, tout en rondeur ! Son excitation était tellement à son apogée, que quand il s'approcha de l'animal, il fit légèrement trop de bruit ! Oh ! Non ! Ecureuil alerté s'enfui mais sans se laisser abattre pour autant, Sombre Plume le suivit. Le petit rongeur était tellement paniqué qu'il en oublia de grimper sur un arbre. Sombre Plume était à présent tout près de l'animal, il sentit son doux parfum, s'est alors qu'il se stoppa net dans un freinage urgent ! L'animal, lui ne s'arrêta pas. Il pesta furieux et frustré, il était pile poile sur la frontière avec le clan de l'ombre... Il jeta une œillade, il aurait bien traverser mais une ombre avait surgit. Un chat du clan de l'ombre ! Il serra les crocs d'autant plus frustré, surtout qu'il venait de tomber sur leur chef ! Il recula d'un pas, la tête haute, à tout les coups il allait avoir à des réprimandes mais il n'avait pas dépassé cette fichue frontière ! Il attendit.

Comme on peut parfois s’ennuyer dans un camp... Etoile Sombre en avait mare de tourner en rond dan sa tanière. Il était pressé qu'un chaton sorte de la pouponnière pour en faire son apprentie. Il sortie alors de sa tanière en s’étendant ton d'abord les pattes. Personne ne l'avait interpellé en sortant du camp: tant mieux. Il n'avait pas tête à répondre à ces boules de poils. Le vent ébouriffa son pelage noir. On voyait que les proies manquerait bien tôt. Il était temps d’organisé plus de patrouille de chasse et remplir leur réserve avant que la givre s'installe. Il espérait que le guérisseur s'était déjà fait des provisions de feuilles. Il marchait sur des aiguilles de pins bientôt remplacer par des feuilles de chêne. Qu'est que cela lui faisait du bien de sortir! Rester enfermer lui faisait bouillir le cerveau et il savait que ce n'était pas géniale pour un matou comme lui. Oh! Un tronc d'arbre barrait sa route! Il sauta alors dessus. Trouvant l'écorce de l'arbre tendre, il en profita pour faire ses griffes: cela n'était pas à écarté d'une vie. Lors d'un combat, des griffes aiguisés s'enfoncent bien mieux dans une chaire que celles qui ne le sont pas. Puis il s'assit. Sa carrure musculeuse et son fière allure était même présent quand il restait seul à remuer ses pensés. Là, il observait les merveilles de la nature: les herbes remuer, les feuilles commençant à roussir frissonné dans les arbres et des cloportes creuser dans l'écorce qu'il s'amusait à enlever. Puis il se tourna vers le soleil. Son éclat brillant lui fit fermer les yeux et les rayons de l'astre lui redonnait un gain d'énergie. Il se leva et se concentra sur ce qu'il sentait sous ses pattes: l'humidité de la terre et des feuilles commençant à se dégrader. Il avait l'impression de se trouver dans un beau rêve. Il cligna des yeux pour revenir à la réalité. Il avait maintenant besoin de chasser des proies. Il huma l'aire et sentit rapidement l'odeur d'une souris. Malheureusement, celle-ci venait de se réfugier dans son terrier. Il se dirigea alors vers un talus. Que des anciennes pistes... Déçue, il se dirigea vers la frontière du clan du Tonnerre pour voir si il y avait des nouveautés. La longeant, il fut rassuré de ne pas en avoir. Mais cela était trop tôt. Une odeur puante qu'il connaissait bien lui toucha les narines: un chat du Tonnerre était reconnue le guerrier présent mais ne put le nommer. Sa mémoire n'hésitait pas à lui faire des tours. Celui-ci jute là un énorme écureuil. Par chance, la bête dodue passa du côté de sa frontière. Quel plaisir! Le guerrier adverse avait fait un pas de son côté et il semblait gêné. Etoile Sombre tua d'un coup de croc le délicieux gibier. Il revint vers le guerrier adverse. Puis déposa sa proie.

"Quel hasard! Je le savais bien que les guerriers du Tonnerre faisait semblant de respecter le code du guerrier. Finalement, ce sont des voleurs à ce que je vois. Avoue que si je n'étais pas arrivé à cette instant, tu n'aurais pas hésité à donner le dernier coup de croc à cet écureuil? D'ailleurs, tu as franchis la frontière d'un pas. Serais-tu maintenant capable de la franchir à nouveau pour avoir la correction que tu mérites?"

Sombre Plume foudroya le chef qui venait de tuer SA proie et qui venait le nargué sous son nez ! S'il s'était agis d'un simple guerrier, le matou n'aurait pas hésiter à provoquer une bagarre mais un chef ? Il en fallait peu pour que les autres chats de son clan ne trouve une autre excuse pour le haïr. Il garda son calme malgré sa fourrure qui se hérissait. L'ennemi déposa la proie au sol, satisfait de lui même, il semblait jubilé face à l'impuissance du guerrier. Oui. Il avait chasser d'autre proie, mais cet écureuil énorme valait bien les deux autres ! Sombre Plume recula d'un nouveau pas. Non pas par peur mais pour ne pas donner la nouvelle satisfaction à son ennemi de l'accuser de viol de territoire. Rater, le chef du clan de l'ombre n'avait pas l'intention de fermer les yeux sur... Sur quoi, au juste ? Il n'avait pas dépassé les limites ! Mais son adversaire pointilleux ne l'entendait pas de cette oreille, il s'était planté devant lui et ça sentait les ennuis à plein nez. L'autre lança légèrement sarcastique:

- Quel hasard! Je le savais bien que les guerriers du Tonnerre faisait semblant de respecter le code du guerrier. Finalement, ce sont des voleurs à ce que je vois. Avoue que si je n'étais pas arrivé à cette instant, tu n'aurais pas hésité à donner le dernier coup de croc à cet écureuil? D'ailleurs, tu as franchis la frontière d'un pas. Serais-tu maintenant capable de la franchir à nouveau pour avoir la correction que tu mérites?

Sombre Plume ne cilla pas mais la colère le submergea. C'est bien ce qu'il pensait, ses chiens de guerriers du clan de l'ombre ne savait plus quoi inventer pour faire leurs intéressants. Comment peut il l'accuser alors qu'il venait de renoncer à cet écureuil de malade ?! Sombre Plume baissa la tête comme pour regarder la ligne invisible des frontières. Mouai, le chef exagérait, les frontières n'était pas bien précise, il n'y avait jamais prêté grande importance. Il s'assit bien droit, inutile de reculer encore au risque de le prendre pour de la faiblesse. Le matou noir inspira longuement pour rester courtois et ne pas insulter cet imbécile de chef qui cherchait des prétextes pour s'en prendre au sien.

- non. Je n'ai en aucun ca dépassé vos frontières, pas même d'un pas. Et si je l'avais réellement voulu, je l'aurais tué, moi, cet écureuil ! Alors s'il vous plaît, arrêtez de chercher des problèmes là où il n'y en a pas !

Le chat adverse n'avait pas céder à la provocation d'Etoile Sombre. Pourtant le chef devinait que comme tout autre chat, celui-ci était en colère. Il regardait de haut en bas en ne bougeant la tête celui-ci. Le chat gris avait alors baissé la tête. Étais-ce un signe de soumission? Non, le maton regardait simplement la limite. Comme ceci, c'est comme si il regrettait ses actes. En effet, il avait intérêt de les regretté car on ne rentre pas comme ceci dans un territoires. En vérité, le chef aux yeux verrons se mentait à lui même. Il savait bien que le chat adverse n'avait pas pénétré dans son territoire mais il ne l'avouerait jamais: cela était une trop belle occasion de créé un conflit. Rien que de s’imaginer en train d'accusé le guerrier au pelage de pierre lui faisait un agréable plaisir. Il serait là, muet comme une carpe, à plaider sa cause. Son chef serait alors en train de le défendre ou, à l'inverse, l'enfoncer. Rien que de rabaisser d'autre clan, cella lui rajoutait des points. Le matou ce mit enfin à parler.

"- non. Je n'ai en aucun cas dépassé vos frontières, pas même d'un pas. Et si je l'avais réellement voulu, je l'aurais tué, moi, cet écureuil ! Alors s'il vous plaît, arrêtez de chercher des problèmes là où il n'y en a pas !"

Bien sûr! Imbécile! En ce défendant comme ceci, le chef sourit dans sa tête mais garda un aire sérieux. Le rôle de menteur lui allait trop bien décidément.  De toute façon, tout le monde l'avait toujours mal vue dès son enfance. Même le clan des étoiles le rejetait. Comment se faire accepter dans de tel condition? Etoile Sombre n'avait trouvé qu'une seul solution: essayer d'exercé un pourvoir absolu sur les autre. Peut-être même sur toute la forêt. Mais il savait qu'il avait des points faibles mais qu'il faudra les combattre. Y arrivera-t-il? Il l'espérait. Pour l’instant, il s'occupait à faire le mal contre les autres étant hors de son clan car il laissait tout de même son clan en premier pour avoir un soutien.

Il en revenait au guerrier adverse. Cela l'amusait et chaque occasion comme celle-ci devait être développé en stratégie.  Ceci lui faisait une sorte d'entrainement à des projets importants qu'il comptait mener.
" Me crois-tu si stupides! Tu ne n'as pas tué ce belle écureuil, car je suis arrivé mais sinon, tu l'aurais fait volontiers je tâtais de mes pattes le corps de l’animal encore chaud pour la suite, relever la tête vers l'intéressé On n'inflige pas de dégât sans conséquences avec moi. Ce soir, n'oublis pas de regarder la lune"

Sombre Plume se demandait ce qu'il faisait encore là. Ce chat cherchait des noises et s'était mauvais signe, il avait assez d'ennui pour s'en créer de nouveau. Il était vraiment mal tombé mais il ne flancherait pas. Il regarda droit devant lui. Il ne devait pas provoquer mais il ne se laisserait pas faire non plus d'autant qu'il était dans son droit le plus légitime. Il observa une dernière fois le magnifique écureuil avant d'y renoncer entièrement. OK, il avait gagné le rongeur mais il ne gagnerait pas la batail de parole, en sang froid, il était imbattable, mieux valait il juste espérer éviter une batail... Oh, et à tout les coups, le chef de clan accusera le clan du tonnerre de ne pas respecter les frontières et tout sera de sa faute... Il secoua la tête pour se concentrer sur le mâle qui dit:

- Me crois-tu si stupides! Tu ne n'as pas tué ce belle écureuil, car je suis arrivé mais sinon, tu l'aurais fait volontiers . On n'inflige pas de dégât sans conséquences avec moi. Ce soir, n'oublis pas de regarder la lune.

Il ferma les yeux essayant de se représenter la scène mais non. Impossible, il ne comprenait pas ce que le matou voulait dire mais il ne le craignait pas, pas autant que les ennuis. Mais il ne laisserait pas cette satisfaction à son ennemi. Rester calme, rester calme. Voilà. Il finit par déclarer:

- C'est faux, je me suis arrêté. De justesse mais je me suis arrêté. Cette proie, j'aurais eu tout mon temps de la tuer avant votre arrivé ! Je ne l'ai pas fait alors ne me cherchez pas des ennuis, chats du clan de l'ombre, ne vous abaissez pas toujours à ce niveau.

Les yeux de l'autre s'était fermé juste après ces  paroles. Ou il était désespéré ou il cherchait à se représenté la phrase d'Etoile Sombre. Le chef restait toujours fière de ces personnifications et tout ça. Il se répétait encore "Ce soir, n'oubli pas de regarder la lune" et il devinait que l'autre comprendrait sa phrase quand il sera trop tard: donc, à la pleine lune. Enfin, comme il se le dit souvent: les mystères, c'est moi qui les créé. Il avait envie que l'autre craque mais le concerné tenait toujours. Et bien! Il a qu'à tenir aussi longtemps qu'il ne veut, il apprendra aujourd'hui que le chef des ténèbres est têtue et qu'il n’abandonne jamais. Dans son délire, il est capable de transformer une défaite en une victoire.

- C'est faux, je me suis arrêté. De justesse mais je me suis arrêté. Cette proie, j'aurais eu tout mon temps de la tuer avant votre arrivé ! Je ne l'ai pas fait alors ne me cherchez pas des ennuis, chats du clan de l'ombre, ne vous abaissez pas toujours à ce niveau.


L'autre s'était trahit et cela ne resta pas inaperçu par Etoile Sombre. Il avait dit " Cette proie, j'aurais eu tout mon temps de la tuer avant votre arrivé ! " Cela voulait dire que si il n'était pas arrivé, celui-ci aurait tué la proie de son côté. Etoile Sombre s'avança d'un pas juste devant la frontière. Son museau aurait pu touché celui de l'autre. Il leva sa patte pour sortir ses griffes puis les rentrer. Sa patte se reposa avec douceur sur le sol rugueux. Son regard d'un aire rusé se planta dans celui du chat gris:
"Il ne suffit pas de dire je n'ai pas fait ci et ça. Tu viens de dire que si je n'étais pas arrivé, tu aurais tué toi même ce gras écureuil. Cela veut aussi dire que tu l'as surement fait plein de fois pour même nous voler du gibier. Ce soir, regarde donc la lune: c'est un conseil" Sur ce, je lui avais tourné le dos.

Sombre Plume secoua la tête, l'autre était trop proche de lui à son gout, avec son sourire carnassier à chercher les embrouilles. On l'avait pourtant assez prévenu sur la fourberie des chats du clan de l'ombre. Il préférait rester prudent sur ses paroles car le chef cherchait une faille, une trahison. La discutions allait mal se terminer surtout qu'ils tournaient en rond, le mal s'obstina:

- Il ne suffit pas de dire je n'ai pas fait ci et ça. Tu viens de dire que si je n'étais pas arrivé, tu aurais tué toi même ce gras écureuil. Cela veut aussi dire que tu l'as surement fait plein de fois pour même nous voler du gibier. Ce soir, regarde donc la lune: c'est un conseil.

Non. Le chef n'avait pas compris ou alors il était trop borné pour le faire. L'ennemi s'était détourner, faisant mine de mettre un terme à cette conversation inutile. D'un côté s'était mieux comme ça et d'un autre Sombre Plume n'allait pas rester sans voix face à ce chef arrogant. Il gronda légèrement courroucé et expliqua d'un ton sec:

- Ne faites pas exprès de ne pas comprendre, j'ai dit que j'aurais tué cette proie SI JE L'AVAIS VOULU mais je ne les pas fait car JE RESPECTE LES FRONTIERES. Alors oui, j'avoue avoir été tenté mais je ne l'ai pas fait. Point.