Le brouhaha du camp me parais affreux à ce moment. Tout le monde se plaint que le temps se rafraîchit si rapidement. Par le Clan des Étoiles,  taisez vous ! J'avais besoin de me concentrer et contrairement à ce qu'on croyais,  j'avais encore besoin de prendre conscience que l'ancienne meneuse n'est plus là. Les moustaches frémissante,  les oreilles fine plaqué sur mon crâne comme si cela pouvait changer quelque chose. Le regard suppliant et ma gueule entrouverte sussurant des mots inaudible. Voilà comment est la nouvelle meneuse. Hein, Étoile Parfumée. Regarde où tu conduit ton Clan, sale minable. Reprend toi. Chut, chut. Arrête de te rabaisser,  regarde ta tête. Je ne suis plus comme avant. C'est impossible. Les bruits commence vite à bourdonner dans ma tête. Des mines inquiète passe sous mes yeux avec des"Ta vue ta tête" ou "Tu devrais allé voir Berceuse d'autrefois". A chaque fois j'y renonçais, après tout la saison des feuilles morte était là.

Après quelques minutes à regarder tout les autres passé,  invraisemblablement je décide de prendre un peu l'air pour me rafraîchir les idée et mon pelage tricolore qui commençait à doublé de volume petit à petit par la fraîcheur douce mais présente. J'attrape rapidement un campagnol assez dodue pour cet saison, trop occupé à faire ses réserves où je ne sais quoi. La petite bête entre mes crocs je sort de la frontière pour aller en terre libre.

Pourquoi en Terre libre? Et bien aucune idée, mais je savais que si je voyais quelqu'un, je me ferait un plaisir de rabattre sur lui tout mes soucis du moment. Enfin si ça arrivait bien sûr. Je m'assois contre un arbre au large tronc, prenant bien soin de poser mes pattes là ou il n'y avais pas de racine. Ce qui m'aurait fait chuter ou je ne suis quoi. Je pose délicatement mon flanc droit au sol, puis une fois allongé on aurait crue que cet endroit était fait pour un chat qui avait envie de se reposer, les racine si bien posé comme pour mettre une partie des membres à un endroit précis.

Une silhouette se dresse devant moi. À ces yeux ils paraissait me connaître pour la lieutenante du Ciel. Je ne l'avais encore dis à personne que j'étais devenue meneuse.





 

Mon regard se pose automatiquement sur le félin. Je fut surpris de la beauté de son pelage mi long,  lustré et bien nettoyé. Rien qu'en le voyant je m'aurais imaginé que c'était un mal propre ou un chat du même genre assez vantard. La vie prouvait encore une fois qu'il ne fallait se fier aucunement aux apparences. Moi qui était franche et même agressive si on ne me connaissait pas on pourrait jurer que je suis un petit ange. Ah, Ah ! Un ange vous me faites doucement rire, vous faites pitié,  personne n'est parfait. Il passe devant moi l'oeil distrait. Je vois ses muscles imposant roucouler sous son pelage de jais. Cela ne me fit aucunement peur, je savais me battre aussi. Puis ses yeux ambré,  non doré,  était en train de pétiller de mystère. Jamais personne ne découvriras ses émotions avec des yeux pareil. J'ouvre ma gueule lentement,  laissant échapper un volute de fumée d'air chaud.

Le froid commençais à se ressentir et ma fourrure doublait de volume en un clin d'oeil. Et au fond j'avais peur de ressembler à une pomme de pin. Ma fourrure,  je pense allait peser lourd en fin de saison. Tout ça par ce qu'il fait froid. Je ne sais ce qui me pousse à faire ça mais je me colle contre lui. À chaque pas les feuilles éclatait sous mon oassage. Voilà la Saison des Feuilles Mortes était là elle et sa brise odorante et humide.

-Salut

Bien que collé contre sa fourrure, j'eut un hoquet de surprise. Je m'attendais  à mieux de sa part. Je ne sais pas vraiment ce que de devait apprendre de lui, ni attendre de lui. Après tout je ne le connaissais pas,  il ne fallait pas le juger. Mais rien qu'au début de notre conversation je me sentais déçu et même "trahis". Qu'est ce qui t'arrive Étoile Parfumée. Les oreilles frémissante et l'oeil sans expression, je m'ecarte de lui. Je fais comme ci j'allais lui sauter dessus.

- Salut, sale bouffeur d'écureuil ! je réplique l'air moqueur en ricanant.

Je sort mes griffes et bondis. Mais je ne bondis pas sur lui mais sur l'arbre qui se trouve derrière lui. M'aggripant à l'écorce je monte facilement en quelques secondes. Mais soudain quelque chose que j'avais oublié me vient à la tête. Je ne connaissais pas son nom. Ni rien de lui. L'odeur de forêt et de remède envahissait le félin. Le Clan du Tonnerre n'avais en fin de compte pas que des guerriers alicale et stupide. Je le regarde d'un air réfléchis. Nous ceux du Ciels avait l'habitude des forêt mais on préfère manger de gros oiseaux ou des oiseaux tout court. Les écureuils ne nous avait jamais vraiment attiré en fin de compte.

-Je ne te connais pas vraiment, comment tu t'appelle ?Je l'avais déjà vue à une Assemblée, mais je n'en avais aucune idée de qui était t'il puis je reprit Moi c'est Étoile Parfumée, la meneuse. Tu sais du Clan du Ciel.

Puis je fut étonné, le Clan du Ciel grimpait comme des écureuils, mais n'en mangeais que si il ne trouvait rien d'autre.